Dr Fabian Warzée : « J’ai toujours été intéressé par le fonctionnement du corps humain. En comprendre les spécificités et aider mon prochain me passionnait : la médecine s’est donc vite imposée comme une évidence. Après sept ans d’études générales, je me suis spécialisé pendant huit ans en médecine d’urgence et en chirurgie.
La médecine d’urgence demande une connaissance de nombreuses pathologies. Quand un patient arrive avec un problème de santé, il faut pouvoir faire un bilan rapidement, établir un diagnostic le plus correct possible et tout mettre en œuvre pour le traiter de la meilleure manière possible. La chirurgie m’intéresse tout autant. Les urgences étaient donc, pour moi, une bonne manière de concilier chirurgie, médecine de pointe et médecine de proximité.
Après une expérience dans la province où j’ai été formé puis à Namur, je partage à présent mon temps entre les urgences de deux centres hospitaliers, l’un au Luxembourg, où j’exerce principalement, et l’autre à Verviers, à titre complémentaire. »
La motivation dans le challenge
« Mon métier est passionnant. Contrairement à d’autres disciplines avec une spécialité précise, la médecine d’urgence touche à tous les domaines. Quand j’arrive à l’hôpital, je ne sais jamais ce que la journée va me réserver. Il faut pouvoir être réactif, s’adapter à chaque situation. C’est parfois complexe mais c’est aussi ce qui me motive au quotidien. À l’avenir, j’aimerais également développer la médecine d’expertise. C’est un challenge professionnel que j’aimerais beaucoup relever.
Au niveau personnel, mon épouse et mes enfants sont mes priorités. Je travaille pour pouvoir leur offrir une vie confortable et leur construire un bel avenir, pour que nous ne manquions de rien. Je souhaite que mes filles puissent faire les études et les formations qui leur plaisent et que nous puissions les financer sans aucun problème avec mon épouse. À terme, nous aimerions envisager une résidence secondaire ou un bien immobilier dans un pays qui nous plaît pour pouvoir nous ressourcer à loisir. Je suis aussi passionné d’automobile donc j’aimerais bien avoir quelques voitures de collection. »
Mieux vaut prévenir que guérir
« Au passage de la quarantaine, je me suis demandé ce qu’il adviendrait de ma famille s’il m’arrivait quoi que ce soit. Cela peut paraître jeune pour se poser ce genre de questions mais, de par mon métier, je suis malheureusement confronté régulièrement à la mort. Mon souhait était que, quoi qu’il se passe, mon épouse et mes filles puissent continuer à vivre dans les mêmes conditions. Que faudrait-il mettre en place pour réaliser ce souhait ?
Par chance, pour en avoir déjà entendu parler par mon account manager, je savais que la Banque Van Breda proposait ce type de service. J’ai donc pu rencontrer, avec mon épouse, une spécialiste en planification successorale du département Van Breda Advisory. Lors d’un premier rendez-vous, nous avons discuté de mes inquiétudes et fourni toutes les informations nécessaires à l’établissement d’un plan sur mesure.
Lors du rendez-vous de synthèse, l’experte nous a expliqué comment fonctionnait les droits de succession et nous a proposé des solutions selon deux axes : la réduction de ces droits de succession et l’optimisation du patrimoine pour que ma famille puisse garder le même niveau de vie si je venais à décéder. Mon épouse et moi-même sommes repartis avec une farde contenant des documents très complets ainsi qu’un résumé de la présentation. Nous avons reçu une feuille de route avec des solutions applicables directement, non seulement au niveau privé mais également au niveau de mon travail en société. »
Un avenir serein
« Je suis ressorti de ce rendez-vous le cœur léger. Dans mon métier, je vois régulièrement des patients jeunes qui ont un accident ou des soucis de santé. Cela pourrait m’arriver aussi. Je craignais que ma famille ne puisse pas avoir suffisamment de réserves pour subsister s’il m’arrivait quoi que ce soit, ce qui m’attristerait beaucoup. Maintenant, grâce aux propositions personnalisées du département Advisory, je sais que les trois personnes les plus importantes de ma vie seront à l’abri du besoin.
Quand on est un jeune médecin, indépendant de surcroît, il faut construire soi-même sa pension. Anticiper pour avoir la vie la plus confortable possible après la fin de sa carrière. La planification successorale fait appel à cette même logique. Anticiper pour l’avenir, le sien et celui des autres. Ce n’est pas une question d’âge, plutôt une question de situation familiale et de recherche de tranquillité. Pour moi, le fait d’être père et d’avoir passé le cap de la quarantaine m’a fait prendre conscience de mes inquiétudes à ce niveau-là.
Mon conseil aux autres titulaires de professions libérales, c’est de ne pas hésiter à vous lancer dans ce processus de planification successorale si vous ressentez la même chose. Et pourquoi pas de le répéter dans quelques années pour faire le point et voir que tout est bien à jour. »