Grâce à la cession de mon cabinet à un groupe dentaire plus important, je peux continuer à exercer mon métier sans souci pendant de nombreuses années. Mais, plus important encore, j’ai l’assurance que mes patients seront entre de bonnes mains lorsque je prendrai ma pension.

Lut Geers
Parodontologue

« J’ai obtenu mon diplôme en tant que dentiste-parodontologue il y a des années, spécialisée dans le traitement des maladies des gencives. Mon penchant pour les professions soignantes m’a naturellement orientée dans cette voie. J’ai rapidement aspiré à ouvrir mon propre cabinet, que j’ai développé avec un collègue. Cependant, entretemps, je suis devenue la maman de trois enfants, dont l’un nécessitait des soins particuliers. En tant que jeune maman, je n’avais pas la possibilité de progresser professionnellement comme je l’avais envisagé initialement. La maternité est rapidement devenue ma priorité. J’ai fait ce choix de tout cœur et je ne l’ai jamais regretté.

Après quinze ans de collaboration sous le même toit avec un collègue, j’ai décidé de passer à un cabinet solo. Lorsqu’en 2016, le métier d’hygiéniste dentaire a été introduit dans notre pays, j’ai vite compris les limites du travail en solo. Un hygiéniste dentaire assiste le dentiste dans les traitements préventifs pour éviter les maladies. Cependant, avec un seul fauteuil dentaire, je manquais d’espace pour cela. C’est pour cette raison que j’ai rénové le cabinet en 2021 et finalement ajouté un second fauteuil. Depuis lors, je travaille avec deux collègues : un hygiéniste dentaire et un autre dentiste. Cela me permet de me concentrer davantage sur mes spécialisations, à savoir les implantologies et la chirurgie des gencives. Nous avons également une assistante permanente. C’est une équipe formidable dans laquelle je me sens vraiment à l’aise. »

 

Avec savoir-faire et expertise

Il n’y a pas si longtemps, les choses ont soudainement pris un nouvel élan. Deux propriétés adjacentes à notre cabinet se sont libérées. J’ai immédiatement vu des opportunités. À 54 ans, je suis toujours passionnément engagée dans mon métier. J’aimerais le développer davantage et collaborer plus avec de jeunes collègues, surtout en prévision de ma pension qui, tôt ou tard, arrivera. Ainsi, je pourrai un jour laisser mon cabinet et mes patients entre de bonnes mains.

Et si je cherchais à rejoindre un groupe dentaire plus important, prêt à acheter mon cabinet et à envisager son expansion avec l’acquisition de locaux supplémentaires ? Je pourrais continuer à contribuer tant que je le souhaite, tout en ayant la liberté et l’espace nécessaires pour planifier sereinement mon avenir. Les locaux disponibles à la vente ont soudainement stimulé ma réflexion, que j’ai partagée avec Karin, mon account manager à la Banque Van Breda.

Karin m’a rapidement parlé des experts de Van Breda Advisory et m’a mis en contact avec Dominic. L’entente a été immédiate. » Je lui ai aussi raconté mon histoire et mes projets potentiels. J’avais également déjà pris contact avec le Groupe Odontalia, manifestement intéressé par une éventuelle reprise du cabinet. Avec Dominic, nous avons élaboré la suite des plans. Je me sentais soulagée, grâce à son savoir-faire et son expertise. Un cabinet, c’est comme un enfant, on ne le laisse pas tomber n’importe comment. Dominic m’a apporté de la tranquillité dans cette aventure. Étape par étape, nous avons avancé ensemble.

 

Avec sérénité, un pas en arrière

Notre collaboration a finalement abouti à une vente réussie du cabinet. Odontalia a acheté la propriété adjacente. Quel est notre plan ? Eh bien, nous aimerions ouvrir une toute nouvelle clinique après l’été 2024. Six fauteuils supplémentaires seront ajoutés. Je resterai la dentiste principale du cabinet. Ainsi, je pourrai continuer à travailler aussi longtemps que je le souhaite et encadrer de jeunes collègues. Si je souhaite réduire mon activité après 7 à 10 ans, ce sera également possible.

Cela me donne tellement plus de liberté pour prendre certaines décisions si je le souhaite. Au départ, je prévoyais de ne réfléchir à la pension qu’après soixante ans. Je suis heureuse de ne pas avoir attendu jusque-là.

 

Avec enthousiasme pour un nouveau chapitre

L’enjeu principal est maintenant de trouver des collaborateurs supplémentaires. Ce ne sera pas évident. Comme beaucoup, nous sommes confrontés à la Guerre des Talents. Avec Odontalia, nous examinons actuellement s’il serait judicieux d’intégrer un autre cabinet existant dans notre grand groupe. Peut-être un dentiste qui, comme moi, souhaite encore travailler activement pendant quelques années, mais qui commence également à penser à la fin de sa carrière. Si c’est un dentiste généraliste, il ou elle pourrait également accompagner les jeunes dentistes. Je vois là un grand avantage. Je rêve d’un projet multidisciplinaire, d’une clinique où l’on peut faire appel à un dentiste restaurateur, une parodontologue et un endodontiste (spécialisé dans les traitements nerveux).

Je suis très enthousiaste à l’idée de ce nouveau chapitre de ma carrière. Le cabinet n’est plus à moi, mais cela ne me dérange pas. Je me sens bien chez Odontalia. Mon intuition continue de me suggérer que j’ai pris la bonne décision.

 

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Sylvain Carlier
Sylvain Carlier

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