Pierre Lorquet : « J’ai débuté depuis peu ma troisième vie professionnelle. Informaticien de formation, j’ai commencé ma carrière dans le groupe Continental AG, ce qui m’a notamment permis de voyager pour le travail dans une dizaine de pays en Europe. Je suis ensuite passé dans le monde du conseil en stratégie et transformation, en rejoignant de grands cabinets, tels que Coopers & Lybrand et PA Consulting, avant de prendre en charge la responsabilité de plusieurs organisations au sein de Capgemini où je suis resté une vingtaine d’années
Après un changement d’organisation chez Capgemini, j’ai saisi l’opportunité de créer ma propre entreprise. C’était il y a environ quatre ans, en mai 2019. Cela s’inscrivait, pour moi, une logique de continuité : un devoir de partager mon savoir acquis durant une carrière de plus de 40 ans, de transmettre mon expérience à d’autres entrepreneurs, qu’ils soient dirigeants d’entreprises, administrateurs ou étudiants entrepreneurs.
J’aide à présent les start-ups et PME belges dans les domaines de la croissance, de la résilience, de la transformation digitale, tout en gardant un focus sur l’humain, la planète et le profit. Démarrer cette troisième vie était un challenge car mon réseau professionnel, tant au niveau clientèle, connaissances ou partenaires, était plutôt localisé dans de grandes structures belges ou internationales. Heureusement, j’ai rapidement réalisé que mon expérience et mon savoir-faire étaient réplicables et réutilisables pour des entreprises de plus petites tailles. »
Outre la transmission de savoir, la relation plus humaine et empathique au sein des petites structures me passionne véritablement.
Empathie et reconnaissance
« Je suis officiellement pensionné mais pas encore retraité. J’aurais pu m’occuper d’une autre manière mais, selon moi, c’était logique et important de transmettre mes connaissances. J’ai le sentiment de vivre un retour aux vraies valeurs humaines avec de plus petits projets. Outre la transmission de savoir, je me suis rendu compte que la relation beaucoup plus humaine et empathique au sein des petites structures me passionne véritablement. Il y a une vraie reconnaissance mutuelle.
Je suis consultant jusqu’au bout des ongles : j’ai toujours pris beaucoup de plaisir à aider d’autres personnes à réaliser leurs projets. Mais le sens de la reconnaissance et du remerciement est vraiment différent, plus entier, au niveau des PME. Je travaille avec des personnes qui ont une motivation d’acier car tout projet nécessitant un coaching ou de la consultance a un impact certain sur une petite structure. Les patrons sont derrière leur projet et il y a un vrai contact humain, une vraie richesse dans la relation. C’est un vrai plaisir d’être remercié après la fin de la mission. En ce qui concerne les étudiants entrepreneurs, quel bonheur d’aider ces jeunes plein d’énergie et d’ambition ! Je suis convaincu qu’ils apporteront une contribution significative à la résolution des crises écologiques, économiques et sociétales actuelles.
J’aimerais continuer à travailler aussi longtemps que possible, si mes clients apprécient toujours mes conseils. À un moment je ralentirai probablement mon rythme de travail et me limiterai à un rôle d’administrateur. Au niveau privé, j’aimerais développer mon patrimoine et en profiter, en investissant par exemple dans un pied-à-terre dans un lieu agréable, tout en assurant une succession pour mes enfants et mes proches. »
La personnalisation de la relation à la clientèle et le professionnalisme m’ont convaincu de devenir client de la Banque Van Breda.
Investissements professionnels et privés
« Lorsque j’ai créé ma société de management, il y a environ 4 ans, j’ai dû réorganiser mes finances. À côté de ma banque privée, j’ai cherché une banque qui répondrait à mes besoins et à ceux de ma société. La personnalisation de la relation à la clientèle et le professionnalisme m’ont convaincu. Pour ces raisons, je suis devenu client de la Banque Van Breda.
En partant de ma situation de départ et de mes projections pour le futur, nous avons défini mon profil de risque afin de mettre en place un système d’investissement en société. Cette connexion entre le professionnel et le privé me permet de faire des investissements réguliers en société et puis de les continuer en privé.
Dans mon rôle d’administrateur de société, je pense que je serai amené à investir dans certaines entreprises. L’actionnariat me permettrait de créer un lien plus fort avec celles-ci. J’espère que le développement de mon patrimoine me permettra de réaliser cet objectif.
C’est important pour moi de séparer le travail en société et le personnel, le professionnel et la sphère privée. J’ai la chance d’avoir trouvé un partenaire financier compétent qui puisse faire le lien entre les deux. »
